dc.contributor.advisor | Markussen, Mona | |
dc.contributor.author | Schei, Ida Martine | |
dc.date.accessioned | 2010-10-22T13:38:47Z | |
dc.date.available | 2010-10-22T13:38:47Z | |
dc.date.issued | 2010-05-15 | |
dc.description.abstract | Ce mémoire prend en compte la construction se faire + infinitif (désormais SFI) et ses côtés sémantico-pragmatiques. Nous allons étudier ses domaines d’emplois et ses particularités. L’explication habituelle de la construction SFI est qu’elle s’emploie typiquement dans les actions qui sont désagréables ou violentes pour le sujet. Le but du mémoire est de résoudre la complexité de la construction SFI.
Ce travail contient trois chapitres principaux : le premier chapitre prend en compte ce qui a été écrit sur la construction SFI dans quatre livres de grammaire française, et dans quelques articles scientifiques. Tout au début, je compare la construction SFI avec la construction causative, faire + infinitif et puis je compare la construction SFI avec le passif périphrastique.
Le deuxième chapitre présente une classification et analyse d’un ensemble de 211 exemples de la construction SFI. La catégorisation et l’analyse se basent sur la théorie du premier chapitre. J’espère que ma classification pourra me permettre de confirmer et de nuancer l’image de la construction SFI.
Enfin, dans le troisième chapitre, nous allons entreprendre une analyse comparative entre le français et le norvégien, pour voir comment la construction SFI se traduit en langue norvégienne, qui n’a pas de construction homologue. Pour réaliser ce projet, on va analyser un certain nombre d’exemples qui sont traduits en norvégien. Je donnerai d’abord quelques équivalences d’une construction causative norvégienne, et puis je présenterai le passif. Ensuite, je ferai une comparaison directe entre le français et le norvégien, afin de vérifier si la traduction de la construction SFI correspond aux subdivisions sémantiques établies dans le deuxième chapitre. | en |
dc.format.extent | 458395 bytes | |
dc.format.mimetype | application/pdf | |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/10037/2782 | |
dc.identifier.urn | URN:NBN:no-uit_munin_2520 | |
dc.language.iso | fra | en |
dc.publisher | Universitetet i Tromsø | en |
dc.publisher | University of Tromsø | en |
dc.rights.accessRights | openAccess | |
dc.rights.holder | Copyright 2010 The Author(s) | |
dc.rights.uri | https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/3.0 | en_US |
dc.rights | Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 Unported (CC BY-NC-SA 3.0) | en_US |
dc.subject.courseID | FRA-3901 | nor |
dc.subject | VDP::Humanities: 000::Linguistics: 010::French language: 024 | en |
dc.subject | construction causative et passive | en |
dc.subject | analyse comparative | en |
dc.subject | analyse sémantique (la base textuelle de Frantext) | en |
dc.subject | causatif réfléchi | en |
dc.subject | paraphrase verbale passive | en |
dc.subject | construction pronominale réfléchie | en |
dc.title | La construction se faire + infinitif | en |
dc.type | Master thesis | en |
dc.type | Mastergradsoppgave | en |